Trios russes (Arenski, Rachmaninov, Rimski-Korsakov)

Artiste
Trio Elegiaque
Mis en vente
2010
Genre
Classical

Les trois trios présents dans le cadre de ce second enregistrement du Trio Elégiaque illustrent les efforts des compositeurs russes en faveur de la musique pure au tournant du XXe siècle, avec, comme ligne directrice les composantes essentielles et opposées de l’âme slave : l’élégie et la danse. (d’après Bruno Gousset)

Anton Stepanovitch Arenski (1861-1906)
Trio pour piano, violon et violoncelle No. 1 en ré mineur, Op. 32 (1894)
1. Allegro moderato – 2. Scherzo. Allegro molto – 3. Elegia. Adagio – 4. Finale. Allegro non troppo
Nikolai Rimski-Korsakov (1844-1908)
Trio pour piano, violon et violoncelle en ut mineur (1897)
Sergei Rachmaninov (1873-1943)
Trio pour piano, violon et violoncelle No. 1 en sol mineur (1892)

Trio Élégiaque
François Dumont, piano
Laurent Le Flécher, violon
Virginie Constant, violoncelle

Récompenses : 5 de Diapason, 4**** de Classica

L’AVIS DE LA PRESSE

« Sans jamais relâcher la tension ni sacrifier le lyrisme submergeant de l’œuvre, les membres du Trio Élégiaque nous offrent, dans un confort d’écoute très appréciable, de réellement redécouvrir cette page généreuse [de Rimski-Korsakov]… Quant à l’œuvre [de Rachmaninov déjà recensée une bonne dizaine de fois] ils ont mieux saisi la sensibilité de l’œuvre que la plupart de leurs concurrents (Borodine Trio, Göbel…) ! Ils abordent l’œuvre avec simplicité et fraîcheur : écoutez seulement avec quel tact les premières mesures sont murmurées !… »
(Philippe Simon, Diapason, Février 2011)

« Leur exécution, d’une rare plénitude, dévoile des cordes nettes et éloquentes accompagnées par un piano ponctuel et imaginatif. Mise en place irréprochable et expressivité exacte… Cette exécution superbement déclamée et pleine de tempérament confirme l’excellence de cette formation qui cultive, en outre, des timbres fort agréables que met en valeur une prise de son spacieuse. »
(Sébastien Foucart, ConcertoNet)

« Tout y est, la passion et la précision, le brio et le lyrisme ! »
(Le Figaro)